samedi 1 août 2015

Whatever It doesn't matter, you let me go I let me Blow.


Cinq Années d'enfer Cinq mois à terre.
Quand tu crois, vraiment en quelque chose tu pense que ça arrivera, quand tu vois la vérité tu te rends compte que parfois. La foi, ne suffit pas.
5 ans, 5 années d'esclavage à croire en quelqu'un, à croire que tu pourrais sauver cette personne à croire que tu faisais le bien.
Alors qu'au fond tu n'es qu'un homme, tu n'es qu'un pantin au bout de files tu danses, toi la flammes inflexible, toi celui que personne n'a jamais dompté.
Et pourquoi pour du vent, fauché comme les blés.
Le cœur en sang, l'âme en morceau toutes les choses auquel tu tenais partie en fumé, éloigné, volé,
tu te sens violé. La rage reviens tu sers le poing les os noirci par les coups, l'âme en peine comme le loup. Seul tombé dans un trou.

Le désespoir, l'infortune, la détresse, la solitude, les fantômes. La lumière insupportable.
Peu de gens savent ce que j'ai vécu, peu de gens me connaissent vraiment, mais ceux qui savent, son conscients que mon enfer était réellement pavé de bonnes intentions.
Un jour elle est partie cette Banshee, me laissant seul face à moi même rentrant d'un travail exténuant ou la sueur et le sang , le manque de respect et le rentre dedans sont courants, flagrants.
Plus de voix pour m’accueillir, plus de cris, plus de sourires, plus de câlins.
des pièces vides remplie de souvenir.
Avoir un enfant pour qui le veut vraiment c'est comme donner vie au plus grand des rêves auquel on prétend. Chaque matin est un cadeau, et chaque couché une bénédictions. Les journées ne sont plus vide et les nuit en sont dépeuplés. Les cris, les pleurs parfois éprouvant, mais lors des premiers pas la fierté comme un coups de masse est enivrant.

Alors quand un père est désemparé, quand on est seul au plus au point malgré les amis, prêt à se damner, prêt à écouter, prêt à éprouver, chacun des nos sentiments ne suffisent plus.
A ce moment parfois une lueur surgit, une lumière éblouissante, un son assourdissant, un souvenir du passé, une arme caché, des larmes égarées.
Tu apparais comme l'aube après une nuit embrumé, dépravé, sous LSD sans crié gare, sans même un avertissement, pleine de ressentiment.
J'y crois encore, j'y ai toujours cru, je l'ai toujours voulu sans jamais laissé ce sentiment se taire.
Le cacher peut être sans jamais le mettre à terre,
Je t'ai pourtant abandonné sans pour tant jamais vraiment le faire.
Je ne suis qu'un homme je ne suis pas un dieu même si bien souvent j'aurais voulu le contraire, je fais des erreurs je les assumes, je suis plus que terre à terre.

Sans jamais vraiment pardonner, sans jamais vraiment regretter.
Sans jamais vraiment reculer, sans jamais vraiment abandonner.
J'avance comme un bulldozer sans jamais vraiment de questions me pauser.
Parce que la vie est courte, parce qu'on a trop peu de gens à vraiment aimer.
Je m'excuse pour ce que j'ai fait par le passé à tout ceux que j'ai blessé parce que je n'ai pas suffisamment pensé, parce que je n'ai pas assez imaginé, envisagé, concrétisé.
Aujourd'hui je veux me racheter, me faire pardonner.

Enfin réaliser tes rêves les plus fou, comme si
ils t'étaient acquis, destinés, préparés.
Et voila je me perds encore en conjecture, en image et en souffrance, parce que mon cœur est trop gros pour accepté que je ne suis qu'un homme pas si mal doté.
Le portrait délavé, mal brossé, défriché, d'un lion blessé, perdu, amoureux, et fracassé.
En quête de la vérité, de toi, de sa réalité.
Qui sait vraiment si tu sauras me pardonner...
En faudra t'il vraiment plus pour me mettre à genou, une demande, un passé, un mouvement, 5 années,
4 mois, l'horloge tourne et tes battements de cœur se font désirer.

Regardez, contemplez, le spartiate éclaté, démembré, qui sourit au passé, regarde son destin in fine.
J'ai vécu ce après quoi j'ai toujours couru, j'ai entrevu par volutes ce que j'ai toujours voulu, en l'espace de quelques heures, j'ai vu, j'ai entendu, j'ai vécu, j'ai mordu, j'ai connu, j'ai su et j'ai perdu, ce qui a toujours compté ce dont j'ai toujours rêvé.
La suite je ne la connais pas, car mon mot à dire je n'ai pas
c'est a toi de décider, c'est à toi de concrétiser.

-Ma rage persiste, je n'oublie rien.

A ceux qui ont tout lu merci, c'est ce que je suis un homme torturé, mais dont le cœur bat, loin d'être dénué d'émotion, pas formaté, je continu à me battre, ou plutôt à me débattre parce que c'est ce qu'on fait tous. Je vous embrasse







samedi 1 janvier 2011

Phoenix.


Il faut l'avouer 2010 fut une sacrée année de merde, avec son lot de tristesse, d'angoisse, de névrose, de douleur et d'obscurité. Ma plus grande joie fut d'avoir pu redonner un peu de couleur à tes yeux qui ce voilaient. Puis tout est allé de mal en pire, j'ai perdu, non pardon j'ai abandonné mon trésor appâté par d'autres bien fait bien trop frivoles. J'ai été attiré dans un piège, dont j'ai été trop bête pour en voir le danger. Je m'en veux tellement d'avoir fait ce que j'ai fait de t'avoir mis a terre lorsque tu étais déjà au plus bas, et d'avoir plongé dans les ténèbres.

Je dois admettre qu'après ça j'ai pris du plaisir de mon coté, mais j'étais aveuglé par ce regard par ces promesses, par cette langue si habile, je ne voyais pas à quel point je m'enfonçais jours après jours dans des profondeurs desquelles je ne pourrais sans doute jamais sortir. J'ai cru pouvoir oublié, ne plus sentir ce parfum, ne plus contempler ce sourire, ne plus voir la déception dans ton regard, ne plus l'entendre dans ta voix, j'ai cru que tout cela serait fini. Puis est arrivé ce jour si brillant et si sombre ou je, mais je devrais plutôt dire nous t'avons déçue. Car je sais que c'est cette nuit la que tout a changé dans ton coeur, c'est cette nuit là que j'ai quitté ton âme, tes pensés, et que j'ai damné la mienne. Je n'ai pas fait que te perdre ce jour la j'ai aussi perdu celle qui me possédait car malgré tous ce qu'on peut dire sur elle je pense qu'elle ne m'a jamais mentie sur ses sentiments...

Lorsque je me suis retrouvé seul, lorsque mes espoirs ont rendu leurs derniers souffles, je me suis drapé dans un linceul de ténèbres, je me suis mis à haïr le monde, et à vouloir resté seul, lorsqu'elle a continué a me mitraillé, malgré ma tristesse j'ai répliqué, j'y ai mis mes dernières forces. Puis je dois l'avouer je suis devenu méchant, j'ai commencé à faire du mal aux autres à tenté de détruire les autres car je ne supportais pas de les voir heureux, je voulais noircir ce tableau qu'était la vie des autres les faire contempler. Les faire voir le monde de mes yeux. J'ai cessé de penser à toi pour une longue période, plusieurs moi durant j'ai tenté de combler ce vide par la haine, et la méchanceté gratuite. Puis j'ai vu une lumière, quelque chose, je ne sais pas quoi m'a rappelé qui j'étais vraiment, que tout cela ce n'était pas moi, et surtout que j'étais seul, tellement seul, j'avais perdu mon "signal fire" j'avais perdu ma flamme, mais... Elle ce rallumait lentement, aujourd'hui j'ai récupéré une bonne partie de ma brillance, de ma consistance, je me sens à nouveau moi même, mais la douleur en est presque insurmontable, il n'y a plus rien pour la cacher, plus rien pour l'atténuer.

J'ai vu une lueur de pardon dans tes yeux, j'aurais tellement voulu ne jamais la revoir tout aurait été plus facile, mais s'aurait été tellement plus lâche de ma part... Tes lèvres sur ma joue sont de véritables tortures, mais sans elle je ne me serait jamais pardonné, je n'aurais jamais compris que l'on peut faire des erreurs et que l'on peut blesser les autres, mais qu'ils pardonnent aussi si l'on a de l'importance. Tout est tellement ambiguë. Tu me comprends tellement bien. Je sais que tu comprendras ce que je veux dire dans ces lignes. Tu est toujours celle que tu a été et le seras toujours, tu est au milieu de mon coeur et ne le quittera jamais même si je tente de le cacher. Tu ne liras sans doute jamais ces lignes, mais j'avais besoin de les écrire.